Bienvenue sur le site d’Isabelle Jecker, diététicienne-nutritionniste
« La diététique et la nutrition sont ma passion ; à la quarantaine, j’ai donc décidé d’entreprendre une reconversion professionnelle et repris des études. Aujourd’hui j’ai 47 ans, et après avoir complété mon diplôme de diététicienne-nutritionniste par une formation en Education Thérapeutique du Patient et avoir acquis de l’expérience, j’ouvre, enfin, mon cabinet diététique. »
Isabelle Jecker, le 10 octobre 2014
« Après 5 ans de consultations, j’aime toujours autant mon métier, qui consiste en fait à aider du mieux que je peux, chaque cas toujours particulier et très souvent complexe quand il s’agit d’alimentation ».
Isabelle Jecker, le 31 juillet 2019
L’alimentation, la diététique et la nutrition sont au centre de « La Vie » et aussi de « nos vies », au niveau biologique, mais aussi social et intime. C’est cet ensemble complexe, qui me passionne.
Nos
« grands-mères nutritionnistes » * transmettaient en cuisinant quotidiennement, un savoir culinaire fait de repas simples, savoureux et d’un grand intérêt nutritionnel. Cette transmission est en train de se déliter et d’après moi, ce rôle nous incombe désormais. En même temps, notre époque est riche en découvertes scientifiques, qui font avancer notre compréhension de l’organisme humain, de ses besoins et de son fonctionnement. Mais il ne suffit pas de savoir pour pouvoir appliquer ; notre rythme de vie, nos émotions, la relation que nous avons à l’alimentation, tous ces aspects individuels, nécessitent d’être pris en compte.
Mon rôle, c’est de mettre mes connaissances au service de votre santé et de votre mieux-être, à l’aide d’écoute, de conseils personnalisés et d’éducation thérapeutique, adaptés à votre vie et votre personne.
* Pierre Weil, « Mon assiette, ma santé, ma planète » Plon 2010
Diététicien(ne)–nutritionniste, c’est quoi ? en savoir +
Nous sommes une profession paramédicale réglementée.
Pour l’exercer, il faut détenir un diplôme délivré par l’Etat.
Nous faisons partie du parcours de soins.
Nous répondons aux questions : Quoi… Combien… Quand… Comment… manger ?
Personnellement, je vous explique aussi beaucoup Pourquoi.
Ensemble, nous recherchons le meilleur moyen d’équilibrer votre alimentation, en fonction des besoins de votre organisme et de vos objectifs, en tenant compte de votre réalité quotidienne.
J’ai un rôle d’écoute, d’analyse, de diagnostic diététique, d’information, de conseil, de soutien et, dans le cadre d’un suivi, d’accompagnement.
Quelle est notre spécificité ? en savoir +
Dans la cacophonie des informations nutritionnelles contradictoires qui circulent sur internet et dans les médias, au milieu de l’invraisemblable quantité de produits inventés par l’industrie agro-alimentaire et des publicités vantant leurs mérites, des régimes « miracles » et des « modes » alimentaires successives, il est très difficile de s’y retrouver et d’avoir des conseils fiables.
Les diététicien(ne)s–nutritionnistes sont des professionnels de l’alimentation :
- En tant que profession règlementée, nous sommes tenus à une formation professionnelle continue, qui nous permet de suivre l’évolution des connaissances dans notre domaine et d’y adapter notre pratique, si nécessaire.
- Nous ne faisons pas de prosélytisme pour ou contre un mode alimentaire, nous respectons vos choix, en veillant à ce que votre organisme ait tous les nutriments dont il a besoin.
- Notre objectif, c’est votre santé.
Notre organisme a des besoins physiologiques en nutriments issus des aliments que nous mangeons. Ces besoins varient en fonction de notre situation, de notre rythme de vie, de notre âge, selon que l’on est bien portant ou que l’on a une pathologie. Ce qui est valable pour une personne, ne l’est pas forcément pour une autre.
Les conseils d’un(e) diététicien(ne) sont professionnels et tiendront compte de l’ensemble des éléments importants pour votre santé.
Pourquoi aller voir une diététicienne-nutritionniste ? en savoir +
Les raisons peuvent être nombreuses :
- Sur prescription médicale, en tant que démarche de soin, en raison d’une maladie. Nous pouvons être utiles dans la grande majorité des pathologies, du début à la fin de vie.
- Sur simple conseil médical, en raison d’une obésité, d’hypertension, de troubles du métabolisme des lipides (hypercholestérolémie, hypertriglycéridémie), du métabolisme des glucides (diabète), de problèmes de l’appareil digestif (des plus simples aux plus handicapants), d’allergies alimentaires, de troubles du comportement alimentaire ou pour lutter contre la dénutrition (cancer, sida), …
- Par démarche personnelle, parce que vous voulez prendre votre alimentation en mains. Les motivations à se questionner sur sa manière de manger sont multiples : pour se faire du bien, en prévention pour sa santé, parce qu’on prend progressivement du poids ou que l’on en a pris beaucoup brutalement, en cas de mauvais bilans, parce que l’on se sait à risques cardio-vasculaires, en cas de maladie, parce qu’on est enceinte ou devenue mère, parce qu’on arrive à la ménopause, parce qu’on voudrait faire quelque chose en cas de troubles alimentaires, etc, etc, etc.
Comment j'aborde mon métier ? en savoir +
L’alimentation est au cœur de notre vie et de notre santé, de notre bien-être. Mais nous n’avons pas tous le même rapport à l’alimentation : plaisir pour les uns (1), corvée pour d’autres (2), souffrance pour certains (3).
- Un bon repas, un bon vin, un bon chocolat… sont des plaisirs simples, dans une vie parfois compliquée et pour moi, il n’est pas question de s’en priver (à moins d’un impératif médical). Simplement, il faut s’adapter afin de ne pas faire du tort à sa santé.
- Je sais d’expérience, que l’on n’a pas toujours le temps, ni l’envie, de faire des courses ou de faire à manger. Il ne faut pas forcément cuisiner beaucoup, ni dépenser beaucoup d’argent, pour manger équilibré.
- Si manger est une souffrance, c’est bien sûr plus compliqué. J’écouterai et nous chercherons ensemble, comment aller progressivement vers un mieux.
Quel que soit votre rapport à l’alimentation, si quelque chose pose problème, j’essaierai de vous aider.
Pour beaucoup, un bilan diététique et des conseils personnalisés suffiront.
Pour d’autres, un suivi à plus long terme est conseillé (en cas d’obésité sévère ou de pathologies cardiovasculaires par exemple) : changer une habitude alimentaire est un processus qui prend du temps, qui demande de la patience et de la motivation ;
« On ne change pas une habitude en la flanquant par la fenêtre, on lui fait descendre l’escalier marche par marche » Mark Twain.
En ce qui me concerne, un suivi diététique se fera toujours en lien avec le médecin traitant et si nécessaire, avec le médecin spécialiste concerné.
Quelle alimentation ? Les alimentations « particulières » en savoir +
En ce qui me concerne, je conseille une alimentation de type « méditerranéenne », qui a fait l’objet de nombreuses études et a été validée (scientifiquement) comme modèle d’alimentation équilibrée.
En résumé : de la viande et autres produits carnés en petites quantités, un peu de poisson/coquillages/ crustacés mais moins que dans un régime méditerranéen classique (il faut malheureusement tenir compte de la pollution des mers), des produits laitiers (chèvre et brebis surtout) en quantité suffisante mais limitée, des céréales complètes, des légumineuses, des graines et fruits oléagineux, de l’huile d’olive et de colza et beaucoup de légumes et de fruits, de l’ail, de l’oignon et des herbes fraîches. De l’eau et éventuellement un peu de vin pour ceux qui sont amateurs, en quantité conforme aux recommandations. Aussi peu de produits industriels transformés que possible, un retour au « fait maison », pour les desserts comme pour le reste. La qualité nutritionnelle des aliments est très importante, car un même aliment peut avoir des compositions nutritionnelles différentes selon son mode de production.
Aujourd’hui, avec l’accès à l’information et sa diffusion, de plus en plus d’individus prennent leur santé en main et de ce fait, choisissent leur alimentation. De nombreuses alimentations « particulières » existent aujourd’hui. Certaines ont toujours existées dans toutes les civilisations (le végétarisme, le pesco-végétarisme, le jeûne), d’autres sont récentes et sont nées des conséquences des modifications de l’alimentation par l’industrie agro-alimentaire (le « sans gluten » pour les non coeliaques, le « sans Fodmaps », le « sans sucres »…).
Je me suis intéressée à ces alimentations particulières: le végétarisme, le végétalisme, le jeûne, le « sans lactose », le « sans gluten », le « sans sucres », le « sans Fodmaps », le paléo, le régime Seignalet, le régime crudivore, ... Toutes ces alimentations ont en commun d’être des régimes d’exclusion (certains groupes d’aliments sont exclus, parfois une famille entière). Ce qui signifie qu’il faut veiller à couvrir les besoins physiologiques de l’organisme par d’autres aliments, nutritionnellement équivalents. C’est presque toujours possible ; c’est parfois très simple (végétarisme) mais dans d’autres cas plus compliqué, nécessitant l’adoption d’aliments inhabituels dans notre culture (végétalisme). Les exclusions sont parfois nécessaires (le lait quand on n’a pas de lactase pour le digérer) mais peuvent parfois être évitées (il y a des « trucs » pour digérer le gluten par exemple). Certaines exclusions sont sans danger pour la santé, d’autres sont au cœur d’un débat scientifique contradictoire (l’adoption d’un métabolisme cétogène plutôt que glucidique par le biais du régime paléolitique par exemple).
En tant que diététicienne-nutritionniste, je respecte les choix alimentaires de chacun. Mon rôle est de vous accompagner dans votre démarche, pas de juger vos choix alimentaires ou de vous faire changer d’avis.
Cela étant dit, je recommande vivement de prendre conseil auprès d’un(e) professionnel(le), afin de vérifier, que l’équilibre alimentaire répondant aux besoins de l’organisme est bien respecté.